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ÉPAVE OCÉAN

Océan, pressuré comme une éponge

Filet, suspension, derrière, dessus

La profondeur disparaît, il devient surface et aussi chaudron de rebus humains – en suspension.

Un miroir qui s’opacifie, devient de plus en plus impénétrable à l’imaginaire.

Un mouvement de va et vient  – terre et eau – lumière et eau – passé et devenir.

Conscience holistique – écosystème en nous.

Une vanité disgressive.

Une blessure aquaesthétique – le chant des marées – filet

Diffraction

Épaves Océan - copie copie.jpg

« S’écologiser n’est pas un déguisement éthique de la relation avec la nature ni une illusion paysagère du tourisme. La cosmotique est, à la différence de la cosmétique qui décore la surface de nos peaux et de nos immeubles, une analyse de la profondeur du cosmos et de l’approfondissement de nos corps dans la nature, dans la technique et dans les autres. Elle étudie les conséquences de l’immersion des éléments dans les vivants et dans notre vivant mais pour dégager ce qui s’y éveille : pas d’immersion sans émersion, même si l’éveil précède la conscience que nous pouvons en avoir, « émerger ou s’engloutir » précise Augustin Berque. Par l’étude des milieux, la mésologie, « le vivant est doué de subjectité », l’environnement est optimal dès lors que le milieu est adapté aux êtres vivants et non l’inverse. » Augustin Berque

Selon Gaston Bachelard le corps dur disperse l’action sur la nature en voulant la maitriser dans une connaissance de la matière, il est « le miroir convexe de notre énergie »

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